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 Adrien [1]

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Messages : 17
Date d'inscription : 28/12/2013

Adrien [1] Empty
MessageSujet: Adrien [1]   Adrien [1] EmptyVen 3 Jan - 0:10


   
© Yamashita sur épicode

   
Fahram Räk'Ly


   

   
crédit gif



   
Phrase épique de description de ton perso

   
Le temps fila si vite.
Trop vite pour le garde en tout cas, et sa gorge fut transpercer de pars en pars avant même qu'il ne se rendent compte que dans la nuit noire, une flèche elfique déchirait les ombres frénétiquement dans le seul but d'enlever la vie. Le corps du malheureux fût planté dans le mur, son sang décorant le mur de pierre d'un tableau plus noir encore que la nuit, reflet de la fin d'une existence. Avec habileté, trois silhouette encapuchonné traversèrent la cinquantaine de mettre qui séparait la lisière de la forêt de l'imposante ferme. D'un geste sec, l'une des dites silhouettes arracha la flèche d'un coup net, et replaça celle-ci dans son carquois, non sans l'avoir préalablement essuyé contre la tenue du guetteur. Les trois étranges individus avancèrent à pas feutré jusqu'à l’entrée de la grange. La lumière à l'intérieure y était forte, et les trois compagnons furent obliger de plisser les yeux en même temps qu'ils s'approchaient. Finalement, l'une deux fini par enlever son capuchon. C'était une magnifique Elfe, dont les cheveux noirs semblaient se mêler à sa tunique et à la nuit profondément obscure. L'un de ses compagnons lui fit un regard désapprobateur, mais le second enleva à son tour sa capuche, et ce fut un second elfe accompagné d'un large sourire qui se dévoila à son tour. Les cheveux aussi long que sa compère féminine, il arborait un faciès rieur tandis qu'il préparé une flèche dans son arc, maintenant collé à l'entrée de la grange. Le dernier des compères, toujours masqués, ne quitta pas son capuchon pour sa part, mais d'un geste de la main indiqua à ses compagnons de se préparer et, après une profonde inspiration, bondis d'un coup contre la porte de la grange, l'enfonçant d'un violent coup de pied. Les deux comparses le suivirent, arc bandés, et alors qu'un important groupe d'hommes en armure étaient en pleine réunion, les flèches fusèrent. 3 hommes tombèrent morts d'une flèches dans le cœur, et avant même que leurs compagnons ne puissent réagir, 3 nouvelles flèches abattirent 3 nouveaux soldats. Le trio d'Elfe lâchèrent leurs arcs directement après cette dernière salve et sortir leurs lames. Les gardes, comprenant enfin la situation, sortirent les leurs aussi. Le sang gicla, les meublent se renverser, les cris perçaient le calme de la nuit. En quelques secondes à peine, il ne resta debout plus que les 3 Elfes et deux hommes, prêt à combattre à l'autre bout de la grange. Alors que les 3 assassins allaient finir la lourde tache qui leur incombait, l'un des hommes éclata de rire. L'un des Elfes comprit, ses yeux s'écarquillèrent, mais il n'eut pas le temps de réagir qu'une massue s’abattit sur son crâne et ceux de ses amis, ils s'évanouirent sur le coup.

Le réveil fût plus dur que la chute. Les cris strident percèrent les tympans de l'Elfe. Il portait encore son capuchon. Alors qu'il ouvrait lentement les paupières, il reçu une giclée de sang dans les yeux. Il sursauta, et se rendit ainsi compte qu'il était pieds et poings liés à une chaise, placé en plein milieu de la fameuse grange. Face à lui, son compagnon masculin, se faisait ouvrir le thorax par un homme vêtu différemment des gardes précédents. Deux hommes surveillaient l'entrée de la salle, et sa comparse féminine elle se trouvait sur une autre chaise. Les 3 elfes formaient un triangle, et alors que le torturé se fit tranché un nouveau muscles, ses deux compagnons se retrouvèrent une nouvelle fois asperger de sang. Elle criait, lui, encore sonné, avait du mal à se rendre compte de la situation. Le bourreau lâcha finalement la lame, laissant l'Elfe handicapé dans sa souffrance. L'homme arracha violemment le capuchon du dernier Elfe. Dévoilant ainsi le visage d'un Elfe aux yeux marrons et aux cheveux    aussi noir que du charbon, des cheveux lui arrivant au bas des épaules. Une cicatrice parcourait toute la partie gauche de son visage, du tympan à la gorge, en passant par l’œil, et ses oreilles semblaient brûlées, ou bien arrachées, il était difficile de distinguées, mais en tout cas, il ne restait plus grand chose. " Quel est ton nom ? " demanda le bourreau. L'Elfe ne répondant pas, le tortionnaire arbora un large sourire et, équipé de gants en cuir cloutés, tabassa l'Elfe aux côtes et au visage, qui après quelques coups s'évanouit de nouveau.

L’Elfe ne se réveilla pas dans la grange, mais au beau milieu des bois. Il n'était pas attaché, et il mesurait un bon mètre de moins. Il fini par se rendre compte qu'il n'était en réalité qu'un enfant. Un enfant entouré de bien d'autre enfant. Il en tenait deux par la main. Tous étaient en pleurs, sauf lui. Un grand Elfe en tenu simple d'un blanc immaculé se présenta face au groupe d'enfant. Il leur ordonna de le suivre. Alors que tous exécutèrent les ordres, une Elfe qui tenait la main de notre Héros, pourtant, se retourna, pleurant violemment. Elle criait et voulait retourner dans les bras de ses parents, loin derrière eux. Mais, son grand frère, qui lui tenait la main, l'en empêcha. L'assassin retourné en enfance ne lâcha pas la petite main de sa sœur, et avança, suivant le groupe de jeune gens, et traînant sa sœur et son frère qui continuaient de pleurer. l'adulte avançait d'un pas lent pour ne pas abandonner les enfants qui avançaient encore avec hésitation. Il présentait au fur et à mesure de leur avancée les différentes structures placées dans la forêt, se mélangeant aux arbres. Certains étaient des réfectoires, d'autres des dortoirs, d'autre encore des salles d’entraînements. Il fini par les abandonner par petit groupe dans de petites alvéoles creusés dans les arbres. " Profiter de votre nuit, dès demain, votre entraînement commence ". La nuit fut longue.


Le temps adoucit tout. Mais la sensation d'un coup de pied au visage fut assez violente pour tirer l'Elfe de son pseudo-coma. Quittant son corps d'enfant pour retourner dans ce corps meurtrit. Le bourreau demanda de nouveau le nom de l'Elfe. Celui-ci ne répondant toujours pas, l'Homme choisit une nouvelle approche, et attrapa le premier Elfe aux plaies encore sanglante par le coup, et posa sa lame au creux de sa gorge. Il menaça de l'abattre s'il l'autre ne répondait pas, mais l'Elfe était encore trop sonné, sa tête tournait, et il se rappela les ordres. Il ne dit mot. Lorsqu'une gerbe de sang arriva dans les yeux de la jeune Elfe, elle hurla de désespoir. Le cri fut trop aiguë pour le dernier Elfe masculin de la salle. Il se secoua et renversa sa chaise, tombant au sol, se secouant pour tenter de se libérer. Le soldat humain s'approcha d'un pas lourd, gifla la pleureuse et asséna un coup de pied au visage de celui à terre. L’obscurité pénétra son esprit, il quitta son corps encore une fois, rejoignant cette fois une enveloppe plus jeune de l'actuelle, mais plus vieille que la précédente.

La première chose que vit l'Elfe lorsqu'il rouvrit les yeux fut le sourire explosé d'un homme dénudé. Tenu par les cheveux par un un grand Elfe dans une armure aussi blanche que du marbre, où quelques gouttes de sang venait casser l'harmonie d'une tunique parfaite. Le regard de l'Elfe en blanc et de celui du rêveur se croisèrent. Le premier tendis un couteau au second, et dit en ces mots " Voila la dernière étape de ta formation, ton frère et ta sœur ont exécuté cette étape alors que tu tarde à répondre au conseil. Tu sais ce que tu as à faire. Décide toi enfin, rejoindre la famille Räk ou t’exiler pour vivre sans code ni honneur ? " L’apprenti prit finalement le couteau, sans pour autant quitté le regard du professeur, qui arbora un large sourire quand il lui passa la lame. Voyant que son élève hésitait encore à exécuter l'otage, il reprit son discours " Tu as passé 25 ans de ta vie à t’entraîner, être former, apprendre avec nous. Tu as grandis avec nous, nous t'avons tout donné, es-tu vraiment prêt à tout quitter maintenant seulement pour sauver un seul Homme purement innocent ? ". Durant de longues secondes, les deux être sylvestre se confrontèrent du regard. Puis d'un mouvement vif et précis, l'élève abattit sa lame dans le crâne du soumis. Son visage fut noyé dans le sang.

Que de temps perdu à gagner du temps. Le soldat Elfe se réveilla en sursaut. Le bourreau était assis sur la chaise de l'Elfe mort, les pieds sur les cadavres de celui-ci. La jeune Elfe, elle, était à terre, ligotée, et l'humain gardait la pointe d'une épée sur sa tempe. " C'est ta dernière chance ". Ne voyant toujours pas le torturé répondre, l'homme soupira, puis éleva sa lame. Avant qu'il n'ai eu le temps de abattre sur le crâne de la malheureuse, l'interrogé exécuta une pirouette qui le fit s'enlever de la chaise. Ses poings toujours liés, il sprinta du mieux qu'il put vers l'homme et le renversa d'un violent coup de pied. l'homme à terre, l'Elfe ne s'arrêta pas et le mitrailla de coup de pied au visage. Le bourreau mourru sur en quelques secondes, et les deux gardes à l'entrée arrivèrent trop tard. Ils jetèrent l'Elfe au sol, aux côtés de son amie. Sa défunte amie. Le bourreau avait eu le temps d'enfoncer sa lame assez profondément pour la tuée. L'Elfe explosa, les yeux pleins de larme, il se trouva assez de force pour se relever dans l'aide de ses bras. les deux gardes furent prit au dépourvus, ils essayaient de voir si leur chef était encore en vie lorsque l'un se fit briser des côtes par un violent coup de genoux, l'autre reçu le même sort que son commandant. L'Elfe passa de longues minutes à marteler leurs visages, et quand ses muscles en eurent assez, il retomba proche de son amie. Il pleura contre elle, lui demandant pardon.

Je m’appelle Fahram, je m’appelle Fahram, rendez-les moi, je vous ai répondus, rendez-les moi ...

Le temps est père de vérité. Une lumière vive éblouit Fahram, lorsque ses yeux finirent par s'habituer, il ne portait plus son armure, était propre, son arc et son épée posé à côté de lui. Adossé à un arbre, l'Elfe se rendit compte qu'il dormait. Un livre sur les jambes, nommé " La maîtrise du temps ", ouvert sur la dernière page qu'il avait écrite la veille. Il retourna sur la première page, passant son doigt sur la toute première ligne, qui était une promesse qu'il s'était faite. " Je retrouverais l'Antique savoir du temps, et je vous sauverais. Ce livre répertoria tout les savoirs du temps que je saurais trouver ".


Ma bourse et mes objets divers

 
- Une capote
- une copine
- un ordinateur
- une mouette
- un meilleur ami
- des dents


   
Le visage de l'elfe

   

   
Carnet de rps

   
RP en cours

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RP terminés/Abandonnés

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